mardi 29 avril 2008

Escapades un peu partout.

Je sais, je sais, je n’ai pas beaucoup écrit depuis les dernières semaines. Vous non plus, d’ailleurs, sans vouloir vous offenser, chers lecteurs assidus (bien que silencieux pour la plupart…) Comme d’habitude, la raison de mon manque d’entrées sur ce blogue est principalement le fait que je n’ai pas vraiment eu beaucoup de temps pour moi au cours des dernières semaines… lisez par vous-mêmes, vous verrez bien. J’ai même décidé de vous prouver ma bonne foi et d’écrire un texte au long cette fois-ci au lieu de faire ma grosse paresseuse et de juste commenter un paquet de photos (même si l’envie a pas manqué, il fait beau dehors aujourd’hui…)

Donc dans les dernières péripéties de ma vie d’Erasmus que j’avais eu le temps de raconter sur cet incroyable blogue (qui porte malheureusement encore le nom minable que je lui avais donné au début, faute d’inspiration), il faisait beau, le printemps arrivait et j’avais passé le weekend dehors à multiplier les piques niques et les ballades en montagne… Eh bien disons simplement que la semaine qui a suivi m’a fait regretter amèrement d’avoir pris le printemps pour acquis. Les jours de température de grosse bouette sale (pluie, vent, froid, gens de mauvaise humeur, humidité, etc. etc.) se sont suivis et se sont ressemblés jusqu’à récemment… heureusement, j’ai pu garder (on ne sait trop comment) ma motivation à aller faire du jogging, en plus de m’occuper à des activités à l’intérieur… j’suis entre autres allée voir quelques films gratuits de l’université, dont l’excellent « Au nom du père », un film sur le conflit en Irlande, j’me suis gavée de tapas et j’ai fait la fête avec les amis d’Erasmus étant donné que bientôt on devra se mettre sérieusement au boulot avec l’école et donc par le fait même ça va être plus tranquille de ce côté-là.

Le jeudi matin du 17 avril, j’ai pris le bus pour Madrid avec Sandra pour attraper notre vol pour Paris, où nous allions visiter mes parents. Le voyage a été sans anicroche, sauf pour la mésaventure de la bouteille de Porto que je ramenais du Portugal pour mes parents : à cause de la nouvelle loi qui interdit les liquides dans les bagages à main, j’ai du la mettre dans mon gros bagage enregistré… et juste comme je la sortais dans l’aéroport pour voir si elle était intacte, le fond de l’emballage a cédé et ma bouteille de porto s’est cassée juste à côté du carrousel à bagages!!! Donc, après un périple de Lisbonne à Salamanca à Leon à Madrid à Paris, la bouteille ne s’est jamais rendue à mes parents… au revoir bouteille de Porto, on aura passé de bons moments ensemble… ceci est un hommage à ta vie tumultueuse…

Bref après 12h de bus, métro, avion, petite navette gratis de l’aéroport de Gaulle et de RER, j’ai fini par voir Papa et Maman… j’étais TROP contente de les revoir! On a passé les deux jours suivants à manger, à digérer et à visiter toutes sortes d’endroits à Paris, autant des grands classiques que je voulais revoir et montrer à Sandra (Tour Eiffel, Trocadéro, Arc de Triomphe, Île de la Cité, Notre-Dame, le Louvre, les Tuileries, Montmartre, etc etc.) que des monuments que je n’avais pas eu le temps de voir durant mon premier voyage en 2006 avec Julien (Madeleine, Panthéon, opéra Garnier, etc.). J’ai aussi eu le temps de jaser dans les jardins du Luxembourg avec mon amie Caroline, une fille que j’avais rencontrée au camp en 2002 et que j’ai vu seulement une fois depuis. Après deux jours de visite, Sandra et moi avons dit au revoir à mes parents à l’aéroport et nous sommes retournées « à la maison », en Espagne. Comme on avait un peu de temps à perdre à Madrid avant d’attraper notre bus, on est allées dîner dans le quartier près de la Puerta del Sol, et on a même pris un café dans le resto où on allait manger tous les jours durant mon stage culturel en Espagne d’il y a 3 ans… que de souvenirs…

Une fois de retour à Leon, je n’ai passé que deux jours en ville, car après d’interminables hésitations et réorganisations, je m’étais finalement décidée à aller visiter le Pays Basque durant le long congé de la Fête de l’Autonomie de Leon qui me donnait un weekend de 5 jours. Je suis donc partie le mercredi après-midi avec mon amie québécoise Geneviève pour la ville de Bilbao, la capitale de l’Autonomie. À notre arrivée, il faisait super beau et chaud (genre 20 degrés celcius) et on a rapidement trouvé une chambre dans une résidence universitaire pas chère près du centre historique de la ville. Après une tournée interminable de la ville pour trouver quelque chose à manger, on a fini par se décourager parce qu’étrangement, tout ou presque était fermé. On s’est donc rabattues sur une petite épicerie pour acheter des vivres, qu’on a mangées peinardes dans notre chambre d’hôtel. Le lendemain, on a fait une bonne tournée de la ville, avec des arrêts dans un grand parc, à plaza del Sagrado Corazon, et biensûr à l’inévitable musée Guggenheim, un musée d’art contemporain au design audacieux (vous l’avez sûrement vu un jour sur une photo mais vous saviez pas que c’était ça et que ça se trouvait à Bilbao). Les deux expositions principales étaient super intéressantes. Il y en avait une sur l’art Américain depuis les débuts de la colonie jusqu’aux artistes conceptuels bizarres des dernières années en passant par Pollock, Warhol, les minimalistes, le portraitiste de Washington et j’en passe. L’autre s’intitulait « choses du surréalisme » et elle montrait des objets (vêtements, meubles, maisons, films, etc.) conçus par des surréalistes célèbres comme Dali, Ernst, Miro, etc. On a fini notre journée par une ballade au bord de la rivière, un petit verre sur une terrasse dans le quartier historique et un peu de shopping.

Le soir même, on a pris le bus pour parcourir l’heure de route sinueuse qui nous séparait de San Sebastian, où nous attendait mon amie du cégep Chrystel, qui fait le profil international (comme moi) en communications là bas. Le lendemain, elle nous a fait visiter la ville, célèbre pour la beauté de ses plages. Il faisait super beau, ce qui a contribué à faire de notre pique nique sur la plage, notre ballade dans la vieille ville, notre crème glacée sur la rue principale, notre randonnée jusqu’au sommet du mont Urguel (désolée pour l’orthographe) d’où on peut admirer la ville et l’océan ainsi que notre petit café au bord de la promenade qui longe la mer un succès. On a croisé Matt, un ami Australien qui fait Erasmus avec moi à Leon et après encore un peu de shopping et un souper de pâtes aux asperges, nous sommes sortis tous ensemble (et avec deux potes mexicains de Chrystel) pour essayer les pintxos (genre de tapas, mais en plus gros) et une discothèque de San Sebastian. Chouette journée en somme.

Notre deuxième journée à San Sebastian a été moins chargée et a consisté en gros à prendre du soleil sur une des plages de la ville et à aller chercher Véronique, une autre amie du cégep, à la gare. Elle arrivait de Paris, où elle passe l’année en échange avec l’université de Sherbrooke et elle était vraiment contente de pouvoir profiter du soleil et de la mer. Le soir, on s’est fait une poutine toutes les filles québécoises ensemble (Véro, Chrystel, Geneviève, la coloc de Chrystel Josiane et moi), ce qui a ravivé un peu de nostalgie et de cholestérol sanguin.

Le lendemain, Geneviève nous a dit au revoir car elle repartait pour Leon. Véro, Chrystel et moi, on avait prévu descendre à Pamplona, une ville de Navarre connue surtout pour sa célèbre fête de la San Fermin qui consiste à laisser aller des taureaux dans la rue et de courir devant eux (une autre affaire que vous saviez probablement que ça existait mais que vous saviez pas c’était où exactement que ça se faisait). Mais comme la San Fermin se passe au mois de Juillet, on s’est épargné les taureaux… du moins c’est ce qu’on pensait. J’avais acheté trois billets pour une Capea organisée par José, mon pote avec qui je suis allée en Écosse et que j’avais connu en travaillant à Kandalore. J’avais une idée très approximative de ce qu’était une capea… À notre arrivée à Pamplona, José est passé nous chercher à la station de bus et nous a laissées au point de rendez-vous en ville où on a pris un des 4 autobus à deux étages qui allaient au Centro Taurino Santa Ana, au milieu de la campagne de Navarre, où la capea avait lieu. Finalement, une capea, c’est un genre de grosse fête avec de la musique genre Sevillana et Flamenco, de la bouffe en masse, un bar et… une arène. Dans l’arène, ils lâchent des « vaquillas », soit des jeunes taureaux, et on peut aller essayer de faire le torero amateur en les faisant courir avec une cape sans se manger une corne dans les fesses. Donc tout le monde se tient hors de l’arène et regarde le monde courir comme des malades, poursuivis par des taureaux. Disons que je ne m’attendais pas à ça! Au début je trouvais tellement que ça faisait stéréotype avec le flamenco, le vin rouge, les tapas et les taureaux, mais finalement je me suis rendue compte qu’on était les 3 seules qui n’étaient pas espagnoles dans le groupe, alors j’ai du me rendre à l’évidence que c’était pas un truc juste pour impressionner les touristes!!! Bon, là la question que vous vous posez tous c’est « Mais toi, Murielle, as-tu été dans l’arène? » pas vrai? Eh bien la réponse c’est oui. Comme je disais, les taureaux ne sont pas assez gros pour vraiment blesser quelqu’un et il y a du personnel pour superviser le tout, mais mettons que c’est toute une expérience!!!

De retour de notre journée de délire mental à Pamplona, on s’est couchées relativement tôt parce que le lendemain on retournait à Leon Véro et moi. Après une bonne partie de la journée dans le train, on a fini par arriver et on a même eu le temps d’aller prendre quelques tapas en ville. Le lendemain, j’ai fait visiter la cathédrale et quelques autres endroits sympas à Véro et on est sorties danser le soir. Après mes cours du mercredi, on a fait un tour au bord de la rivière et près du Musée d’art contemporain avant d’aller voir le film gratuit de la semaine, Crash, et d’aller participer à une fête organisée pour les Erasmus avec des concours de chants d’hymnes nationaux et autres jeux du genre.

Le lendemain matin, soit hier, Véro et moi on s’est levées péniblement et on a pris l’autobus pour un petit voyage organisé par mon asso des étudiants étrangers pour aller voir les grottes de Valporquero et les environs. La grotte était vraiment super impressionnante, j’avais l’impression d’être dans un épisode de Planet Earth! On a escaladé un peu les collines avoisinantes jusqu’à un mirador sympa duquel on pouvait voir toute la vallée de Valporquero. Après notre retour du mirador, on est retournés au bus et on a roulé à travers la campagne espagnole jusqu’à la cascade de Nocedo, une chute d’eau située dans un genre de grotte super impressionnante, et on a mangé un sandwich au jambon serrano au bord de la rivière en aval de la chute. On a fini la journée par une montée de 3km dans une route sinueuse et TRÈS à pic jusqu’au petit village de Viadorra, au sommet des montagnes, où il y avait plein de gens en train de profiter du soleil et du jour de la fête du travail (un autre jour férié, bien entendu) en famille. On a suivi une petite route escarpée qui menait du village jusqu’à un ermitage à flan de montagne duquel on pouvait voir un panorama vertigineux des environs, avec la vue sur les montagnes, le village en fête et la vallée super à pic tout en bas. De retour à Leon, on a été manger une pizza avec une amie d’Australie et Viktoria, l’Allemande qui était coloc avec moi au début quand j’étais en résidence.

Ce qui nous mène à aujourd’hui. Après une grasse matinée bien appréciée, Sandra, Geneviève et Marilyne se sont jointes à Véro et moi pour un brunch de crêpes et de sirop d’érable que ma maman m’avait apporté lors de notre rencontre en France (tout comme la sauce à poutine du Pays Basque, d’ailleurs). Sandra, qui essayait le sirop d’érable pour la première fois, a qualifié notre festin de « bomba de azucar » (bombe de sucre). Je me demande bien pourquoi…

Donc voilà le compte rendu des dernières semaines. En ce moment, Véro digère ses crêpes sur mon divan, le soleil (revenu en force depuis mon départ pour le Pays Basque) brille, on est invitées à souper chez Geneviève ce soir et en fin de semaine j’ai l’intention d’aller visiter le Musée sur l’histoire de Leon, d’étudier mes notes d’histoire avec une compagne de classe du Brésil, de lire l’exemplaire du courrier international que j’ai acheté à Paris, de me couper les ongles et de voir l’expo de dessins d’enfants faits durant la guerre civile espagnole. Gros programme en perspective.

Ah, j’oubliais. J’ai reçu un e-mail de Dave Graham, le directeur du camp où je travaille l’été. Je pars à la fin juin guider une expédition de 24 jours sur la rivière Moisie dans le Nord du Québec, près de Sept-Îles, avec un groupe de 8 ados de 16 ans et Marcus, un pote super sympa avec qui je travaille depuis quelques années… Je savais que c’était possible qu’on me choisisse pour une expédition aussi longue et loin, mais comme je n’avais pas de nouvelles de mon patron depuis un moment, je ne m’y attendais pas vraiment… Disons que j’étais HYPER contente!!! Donc dans le concret, ça veut dire que je reviens à Québec le 17 ou le 18 juin, que je repars le 21 pour l’Ontario et que moins d’une semaine plus tard, je vais être à la frontière du Labrador et de la Côte-Nord… assez fou quand même!

Bon, eh bien c’est à peu près tout ce qui c’est passé qui soit digne de mention au cours des dernières semaines… Et vous, chers lecteurs? Dansez vous tout nus dans la rue pour célébrer la fin de la session universitaire et le retour d’un printemps qui semblait jamais arriver? Avez-vous frenché une tulipe parce que vous étiez contents de la voir? Je sais que je dis tout le temps ça, mais si vous avez deux minutes, dites-moi ce qui se passe avec vous, c’est toujours sympa de savoir où vous en êtes et d’avoir la confirmation que vous existez bel et bien…

À la prochaine!

lundi 7 avril 2008

D'autres images de mes plus récentes péripéties

Bon alors suite à l'incroyable succès de mon dernier post en format "photos et commentaires" (et les heures on ne peut plus limitées du laboratoire d'informatique), je répète l'expérience et vous fait un topo-photo de mes aventures des dernières semaines...

La Semana Santa
Faut le voir pour le croire! Voici quelques photos et un vidéo des processions dont je parlais pour la semaine sainte a León... La tradition origine du temps où les gens étaient analphabètes et avaient besoin d'une aide visuelle convaincante pour comprendre la passion du christ... et avec la musique solennelle et tout, disons que ça fait changement des chocolats favoris!!!




Le Musac
León est le fier hôte du très récent musée d'art contemporain de Castille et León, un musée gigantesque dont l'entrée est gratuite tous les jours et qui expose divers artistes conceptuels et concepteurs vidéos... L'édifice en tant que tel est plutôt voyant avec ses fenêtres de toutes les couleurs (déliiiiire!). En fait, c'est supposé représenter une version pixélisée du plus ancien vitrail de la cathédrale... hi les artistes!!!!


Excursion à la montagne
Samedi dernier, comme il faisait super beau, je suis allée en excursion à la montagne avec Justas, un type de Lituanie, et Geneviève. On a pris le bus jusqu'à un petit village de 100 habitants, La Vid, puis on a marché à travers des collines durant 12km avant de commencer notre ascencion d'une piste de 3 km qui grimpait jusqu'à 1600m d'altitude... au sommet, on a pris notre lunch et on a fait une bagarre de boules de neige (parce que même s'il faisait 25 degrés, il y avait encore de la neige là haut!). Une fois redescendus, on a pris un café dans le PETIT village de Vegacervera (rebaptisé "bebacerveza" par les jeunes locaux, ce qui peut se traduire littéralement par "bois de la bière"), on a fait un détour de 6 km pour aller voir un impressionnant col de montagne avec des rapides (yéééé!) qui passaient par là et on est revenus sur nos pas durant encore 12km... mettons que j'ai bien dormi le soir, mais ça a valu la peine, le paysage était magnifique!


La partie "abrupte" du sentier... ouf...


Nous trois au sommet


La vue du "presque-sommet"... au fin fond on peut apercevoir León...


Des rapiiiiides!


Les "collines"

La Espixa
Toujours profitant de la merveilleuse température des dernières semaines, il y a eu une autre Espixa, un genre de pique-nique et fête en plein air organisée par une des facultés de l'université... alors on a profité du beau temps, et on a terminé ça avec un bon vieux Kebab!


Lilla (Hongrie) et moi


Votre humble serviteure


Moâââ, Sandra et Marius (d'Allemagne)


Miamm, un kebab!

Pique-nique
Dimanche dernier, on a (encore) profité du soleil en faisant un pique-nique dans le parc près de chez moi... tout le monde devait apporter un plat, un peu comme dans une fête de famille... j'avais invité plein de gens, mais je pensais jamais que 35 personnes viendraient! Donc bref on a mangé des légumes en masse, on a écouté l'accordéon de Myriam, on a dansé au soleil sous le regard interrogateur de des vieilles madames espagnoles et on a joué au foot (évidemment, on est en Europe!!!) Bref un beau dimanche après-midi...

Lenke (Hongrie), moi, Ligéa (France), Myriam (France), Jonathan (Mexique) et Sandra (Italie)

Ah, on a aussi essayé de jouer au volley...
Bon ben c'est pas mal ça pour le moment... j'attends vos nouvelles, commentaires, messages haineux parce que j'ai pas vu de neige a León (sauf à la montagne) depuis mon arrivée, etc!

Parce qu'une image vaut mille mots...

Bon, pour faire changement, j'ai procrastiné quand à l'écriture d'un récit détaillé de mes aventures au Portugal durant la semaine de Pâques et maintenant le bureau des étudiants étrangers où il y a les ordinateurs va fermer avant que j'aie le temps d'en écrire la moitié... donc en guise d'excuses, voici quelques photos avec commentaires en attendant mon grand retour où je pourrai vous raconter en détails mes aventures extraordinaires...

Jour 1
On va visiter Caiscais et la Praia do Estoril, histoire de passer le jour de Pâques les deux pieds dans le sable... il vente mais on s'en fout, on pense à vous sous vos 5m de neige et on rigole.

Costa do Estoril


Près de Caiscais


Je niaisais pas quand je disais qu'on a passé Pâques les pieds dans le sable!

Jour 2
On visite la vieille ville de Lisbonne. On voit des tas de places publiques très jolies, on profite du soleil, on voit l'ascenseur de Lisbonne (genre de funiculaire qui mène nulle part, un peu comme dans les Simpsons) et on finit a Casa do Alentejo pour manger un succulent Bacalao (poisson local)


Lisboa


L'ascenseur qui va nulle part


Mmm...bacalahau!

Jour 3
On va visiter le marché extérieur du quartier de Alfama et ensuite on va voir le splendide monastère de Bélem... le soir on se gave de Knödl aux épinards, un mets typique de la région de l'Italie de laquelle viennent Sandra, mon amie, et sa copine Maria qui nous héberge


Le monastère vu de l'extérieur


Sandra et Maria dans le cloître du monastère


Sandra qui se régale de ses knödl

Jour 4
On prend le train jusqu'à Sintra, une ville à la végétation luxuriante où tous les aristocrates du début du siècle se faisaient construire des manoirs gigantesques. On visite Quinta do Regaleira, réputée pour ses jardins magnifiques


Quinta do Regaleira


Un autre château de Sintra


Les jardins...

Jour 5:
On décide d'aller visiter l'équivalent du cimetière Montmartre de Lisbonne... les Portuguais se font tous construire des sépultures de famille dans laquelle ils rangent les cercueils sur des étagères derrière des portes vitrées... plutôt glauque, mais assez spécial. On finit notre visite par un peu de shopping et un tour dans un "electrico", un des tramways à l'ancienne de Lisbonne.





Valencia en images...

Comme promis, vu que vous avez été fins (quoi que peux généreux en commentaires ces derniers temps), voici des photos et vidéos de mon périple a Valence...


Mmm... une véritable paëlla pour emporter de Valence!!!



Mangeant dans la rue parce qu'il n'y avait pas d'autre endroit libre pour 20 personnes pour manger!!!



La Ciutat des arts et des sciences. En premier plan, c'est l'hemisferic. le cinéma dont je parlais...


Voici un vidéo du célèbre El Fandi, un des toreros que j'ai vus a la corrida... c'est un vidéo du moment crucial où il tue le taureau, donc j'aime mieux vous prévenir que c'est assez dur... amis des animaux s'abstenir...


Dans une note plus sympathique, voici un autre vidéo de la Mascletá... que de bruit, mes amis, que de bruit!!!